I lied…

Holding hands down by the shore
And I know, God knows it feels so fine
Holding hands down by the shore
And I know, God knows it feels so fine
I said I loved you, I said I loved you
Holding hands down by the shore
Leaned over and whispered in your hear
But I lied, I lied
I couldn’t love you if I tried
Holding you in my harms, in my bed
God knows it feels so fine
Holding you in my harms, in my bed
God knows it feels so fine
I said I loved you, I said I loved you
Holding you in my harms, in my bed
I whispered in your hear
But I lied, I lied
I feel so dead inside
I couldn’t love you if I tried, tried, tried, tried
By Spain « I lied ».
C’est un peu tous mes ex… Et c’est contagieux. Docteur, c’est grave? Quand je vois quelqu’un qui me fait des mini-guilis dans le bidou, s’offrent à moi deux visions de mon futur qui se rejoignent fort:
1) Le lendemain matin: « ARF, dégage, t’as déjà chopé toute la place dans le lit, mon chat ne t’aime pas, me reste un fond de Special K chocolat et il est totalement hors de question que je te le file, tu pues le mec qui cuve… Dégage, dégage, dégage! »
2) Deux mois et demi plus tard (ma limite de résistance à une relation): K. qui s’auto-flagelle d’avoir relâché son attention et brisé une ou l’autre barrière. Commande importante chez un fournisseur de béton armé afin de réparer tout ça et de construire des murs encore plus hauts et plus épais.
En gros, quand j’aperçois un joli minois, j’imagine déjà la fin à court ou long terme. Voilà, je sais ce que je n’ai pas. Je n’ai pas peur… Je suis blasée. Comme quand on mange à outrance la même chose et que ça vous file la gerbe rien qu’à l’image de l’emballage. Paraît que je dois arrêter d’imaginer… Mouais…
Garçon! Une autre bière siouplaît! Cette fin là est douloureuse mais je l’aime bien mieux.