Tchin-T’gin avec Radermacher X Julien Lapraille!

Même si la météo semble ne pas vraiment vouloir suivre, j’ai toujours trouvé que l’été se trouvait aussi et surtout dans nos assiettes et dans nos verres. Les salades, les fruits, les barbecues (quand c’est possible)… Mais ce qui sonne vraiment l’été, ce sont les premières terrasses, les premiers verres remplis de glaçons, les premiers cocktails avec lesquels on aime trinquer. Il était donc impossible de ne pas vous parler un peu plus du gin Radermacher en collaboration avec Julien Lapraille.

1836 Gin Barrel Aged by Radermacher X Julien Lapraille.

Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, ça fait un moment que vous avez pu le voir apparaître par-ci, par-là… Puis j’ai enfin trouvé une bouteille (chez Carrefour, RJ Drink, Bio Planet ou AD Delhaize) pour faire des photos un peu dignes (avant de l’être moi-même un peu moins). J’avais envie de faire un article complet avec cette bouteille qui se révèle être un vrai petit bijou qui pète bien dans mon bar. Elle était trop classe que pour ne pas l’avoir!

Mais revenons à l’essentiel: le gin! Ami depuis 2013 avec Bernard Zacharias (aka le boss de la distillerie Radermacher), c’est de façon très naturelle que l’idée d’une collaboration entre ce dernier et Julien Lapraille est arrivée sur la table (que l’on suppose bien garnie). De cette idée a donc découlé un gin où l’aspérule odorante (plante du Luxembourg, la touche de Julien) avait une place prépondérante.

1836 Gin Barrel Aged by Radermacher X Julien Lapraille.

L’aspérule associée à un mélange de nombreuses plantes et épices donne un futur gin qui repose ensuite pendant 6 mois en fût de chêne de whisky belge Lambertus. Le résultat est très beau et se rapproche fortement de l’élégance d’un parfum qui a les avantages de l’expérience mêlés à une sorte de jeunesse dynamique. L’aspérule odorante étant très florale et ensoleillée, la combinaison de celle-ci avec de la coriandre, du romarin, de l’écorce d’orange, de l’anis, de la baie de genévrier (évidemment), du distillat de blé bio et de l’écorce de citron offre un bouquet de saveurs délicates qui se laissent déguster à chaque gorgée!

1836 Gin Barrel Aged by Radermarcher X Julien Lapraille.

Pour l’accompagner, l’idéal serait de rester dans la neutralité avec un Schweppes Premium Original ou un zéro. Il est aussi conseillé avec le petit dernier: le Schweppes Hibiscus accompagné de quelques zestes d’orange et de baies de genévrier. Pour ma part, j’ai fait la rebelle et je l’aime beaucoup avec le Schweppes au poivre rose en fait.

De mon côté, ce gin a confirmé que les papilles gustatives évoluent avec le temps. Moi qui n’adore pas l’amertume (exception faite du chocolat noir), il y a comme un alignement des étoiles avec Julien Lapraille afin que l’amertume entre enfin dans ma vie par la grande porte. Il me réconcilie d’abord avec le chicon via sa première collaboration avec le Huggy’s Bar et maintenant avec le gin et le Schweppes. De là, j’ai aussi laissé mon palais se faire séduire par le café vietnamien lors de mon séjour là-bas. Ici, on ne fait pas la grimace: l’amertume est belle, joyeuse et élégante, joliment entourée d’une sélection raffinée de parfums de la nature. C’est un plaisir que j’ai aimé partager autour de moi et qui a toujours joliment surpris les quelques amies qui y ont goûté.

 

L’alcool se consomme avec modération. L’abus d’alcool est aussi dangereux pour la santé et puis je te rappelle que si tu n’as pas 18 ans, sans l’accord de papa et maman, tu ne peux légalement pas y toucher. En ce week-end de 15 août, j’ai aussi envie de te rappeler que tu peux t’amuser mais sans alcool au volant stp. Les bonnes choses sont aussi dans la modération. 

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