Simple.

From Stockholmstreetstyle


Tu vois des paillettes, de l’imprimé, du rouge à lèvres quelque part toi?
La fille elle a pris son short, son débardeur et sa ceinture puis hop, elle est sortie.
Faut pas plus et elle va décrocher la mâchoire a bien plus de mâles que l’autre greluche qui a voulu sortir ses nichons au balcon. *enfin, là, c’est peut-être moi qui rêve un peu. Les nichons  qui font hello restent malgré tout une valeur sûre. Disons alors que le mâle tombera amoureux de la demoiselle ci-dessus et qu’il aura juste envie de se taper la greluche en mal d’amour*
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21 Comments

  1. Someone
    4 juillet 2010 / 11 h 59 min

    Simple… mais efficace !

    • Une Fee dans les Etoiles
      4 juillet 2010 / 12 h 28 min

      Exact.

    • Une Fee dans les Etoiles
      4 juillet 2010 / 12 h 29 min

      Ouais, là, de fait, mes jambonneaux cachet d’aspirine ne valent pas sa paire de gambettes hahaha!

    • Une Fee dans les Etoiles
      5 juillet 2010 / 0 h 46 min

      Yep! Elle tue. Bienvenue par ici Justine.

  2. 4 juillet 2010 / 19 h 02 min

    Simple…Ouais, mais comme Nadia, je dirais que ça aide grandement d’avoir le cuissot fuselé !

    • Une Fee dans les Etoiles
      5 juillet 2010 / 0 h 47 min

      Et je te parie que c’est encore le genre de filles qui peut s’empiffrer de crasses sans prendre un gramme.
      En même temps, ces derniers jours, j’ai sorti le short. Faisait vraiment trop chaud pour commencer à tergiverser sur d’éventuels complexes.

  3. 4 juillet 2010 / 21 h 54 min

    La sobriété, une valeur sure. J’adhère et j’adore!

    • Une Fee dans les Etoiles
      5 juillet 2010 / 0 h 48 min

      Ouais… Hem… Sauf dans un bar ^^

  4. 5 juillet 2010 / 8 h 07 min

    Ouais, enfin, c’est surtout parce que la demoiselle de la photo, tout comme moi, ne peut absolument pas miser sur ses nichons pour attirer les regards, hein 😉
    (par contre, faudra un jour m’expliquer pourquoi TOUS les individus qui se font prendre en photo par les blogs de mode on TOUJOURS les pieds en dedans!!! Serait-ce une maladie?)
    (et sinon, tu peux revenir sur mon blog, hein: depuis que les Portugais se sont fait sortir par ces hijos de p*** d’Espagnols, il n’y est plus question de foot!)

    • Une Fee dans les Etoiles
      5 juillet 2010 / 8 h 53 min

      Oui enfin là, c’est fort soft du pied en dedans. J’ai vu bien pire.
      Oui, je reviendrai parce qu’en effet, hormis dire ‘je tiens avec l’Espagne parce que je connais des espagnols’ ou avec l’Angleterre pour le même argument, ça me passe royal par dessus de la tête.

  5. 5 juillet 2010 / 8 h 09 min

    @Mlle Catherine : et si c’était que les pieds en dedans…Parfois la maladie remonte jusqu’aux genoux sur pas mal de blogs mode 😉

  6. 9 juillet 2010 / 6 h 20 min

    Ton article sent quand même un peu le piment lol
    Mais je suis d’accord avec toi !!

  7. 10 juillet 2010 / 6 h 50 min

    j’allais du-ire la même chose que toi  » oui enfin ça aide aussi d’être bien gaulée! »

  8. Henri
    13 juillet 2010 / 11 h 01 min

    Simple, joli mais gaffe à l’orteil de chameau… on n’est pas loin et cela refroidit tout de suite l’ardeur des mecs. Si c’est le contraire… COUREZ !

    • Une Fee dans les Etoiles
      13 juillet 2010 / 11 h 20 min

      L’orteil de chameau! Bein je m’endormirai moins conne ce soir, je ne connaissais pas ça vois-tu! Enfin, si, mais je ne savais pas que ça allait jusqu’à porter un nom.
      Alors ça c’est marrant, les mecs partent en courant pour cette petite chose (qui est moche, je te l’accorde) mais ça n’arrête pas de se gratter les couilles en public. Vous êtes d’étranges animaux 😉

  9. 15 juillet 2010 / 13 h 34 min

    chaussures horribles, vêtements insipide et sac enorme, c’est un tue l’amour sa tenue, reste qu’elle à l’air mignonne sous ses lunettes seth brundle

    • Une Fee dans les Etoiles
      22 juillet 2010 / 20 h 57 min

      Les goûts et les couleurs… 😉
      Cependant, j’ai envie de simplicité et quand j’en vois, ça fait du bien. Entre les paillettes, les gros imprimés fluos et les accessoires trop souvent excessifs, j’en viens à tomber dans l’excès inverse comme dans un nuage de coton.

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