Snow pic.

La neige je l’aime comme ça: sur une image et mon postérieur enfoncé dans mon divan tout chaud.
————————————–//——————————//——————————–
Bon, et sinon, je réalise que la préoccupation principale de tout le monde, c’est quand même l’AAAAmour (bien Kim, t’as les pieds sur terre aujourd’hui) et que ma préoccupation principale à moi c’est du matériel dépourvu de sentiments: payer mes factures, assurer l’unif, assurer le temps plein, assurer le ménage, les lessives… ARGL et vous, vous en voyez où de la place aux sentiments? Facultatif et nuisible! On vire le sentiment!
Bref, s’il ne se passe rien de spécial dans ma vie, il s’en passe un peu plus dans mon crâne de piaf bientôt réduit à néant par l’alma mater de l’université de mon c**:
J’ai un peu flashouillé sur un n’homme mais je n’ai jamais eu envie de le connaître et maintenant, je sais pourquoi: la réalité c’est toujours moins bien. Donc il restera l’inconnu qui n’a pas de son de voix, n’a pas de mauvais goût caché, n’est pas un gros Connard, ne porte pas de short et encore moins de marcel (on ne pense pas aux sandales de Jésus, on ne pense pas aux sandales de Jésus… Merde, c’est fait!). J’ai juste besoin d’une pincée de piment en mode imagination. Puis ça serait du suicide cette année et ça, c’est hors de question. Très mauvais de mettre en péril une année à l’unif pour un mec. Déjà fait, très mauvais!
*C’est toujours quand je me résigne et que je m’entête – m’auto-détermine comme dirait un petit doigt roux- que les choses bougent dans le sens contraire de ce que j’avais prévu. Donc, la vie, si tu m’entends, NE BOUGE PAS!*